Alain Richner et Jean-Loïc Meudic de la Fnaut se sont exprimés pour envisager des solutions pour des mobilités durables en zones peu denses.
Les zones peu denses sont très diverses : du fait du développement de l’urbanisation en taches d’huile autour des agglomérations, le long des axes autoroutiers et routiers, de nombreuses zones périurbaines sont peu denses. Les zones rurales, et parmi elles les zones de montagne, font également partie de cette catégorie.
Les mobilités durables et inclusives supposent que l’on puisse non seulement se déplacer à l’intérieur de ces zones mais également en direction des villes moyennes et des métropoles et depuis ces agglomérations vers les zones peu denses.
Dans ses analyses, l’INSEE distingue bien les aires urbaines et les zones rurales. L’aire urbaine comprend tous les territoires situés autour d’un pôle urbain (agglomération) où plus de 40% des déplacements domicile-travail se font à destination du pôle urbain.
Les zones rurales sont des zones d’habitat diffus qui posent des problèmes spécifiques de mobilité. Dans ce domaine, la France peut s’inspirer de nombreux exemples de dessertes réussies dans les pays européens.
L’étude se découpe ainsi :
1 – Le constat : Une offre de transport collectif insuffisante dans les zones peu denses (pp. 1 – 3)
2 – S’inspirer des réussites de nos voisins européens pour améliorer les offres de mobilité dans les zones peu denses (pp. 3 – 11)
3 – Utiliser l’approche du « MaaS » pour développer une offre attractive, une information multimodale et une tarification intégrée (pp. 11 – 14)
Pour lire et/ou télécharger la version intégrale, cliquez ci-dessous :