La Fnaut s’est déjà positionnée sur la gouvernance ferroviaire en proposant une solution de type holding « à l’allemande ». Mais le contexte évolue, les résultats financiers se dégradent, les trafics des trains d’équilibre du territoire et du fret se sont effondrés.
Les Assises du ferroviaire de 2011, compte tenu de l’expérience acquise, ont reposé la question de l’organisation de la gouvernance du système ferroviaire pour en améliorer l’efficacité et permettre le développement de toutes ses activités.
La Fnaut a donc jugé nécessaire de reprendre son analyse, en s’efforçant de dépasser la vision purement financière de la Cour des comptes et en prenant en compte les attentes de l’usager-contribuable avec une vision à court mais aussi moyen termes du rapport services-coûts, comme l’ont fait d’autres pays d’Europe.